La faune dans toute sa simplicité

Pour cette première publication, je vous partage quelques images que j’ai prises lors d’une sortie récente au refuge faunique Marguerite d’Youville, situé à Châteauguay. Après une année très chargée par divers projets, c’était ma première randonnée en nature depuis plusieurs mois. La température était clémente, et nous avons eu la chance de voir plusieurs animaux. Je croyais pouvoir y voir des grands hérons, chevreuils, renards, balbuzards, etc, mais ils étaient absents en cette belle journé, à part un renard vu au loin, en s’éloignant.

Il s’agit dans la plupart des cas d’animaux communs, relativement facile à observer, mais c’est justement là que le photographe doit se démarquer. C’est trop facile de juste pointer son appareil vers n’importe quel animal et juste faire “clic”. On doit quand même réfléchir un minimum au cadrage, éclairage, etc. Je ne prétends pas que mes photos soient particulièrement exceptionnelles, juste qu’il y a malgré tout une idée derrière chacune d’elle.

Evidemment, comme tout bon photographe qui se respecte, je ne vous présente que les images que je juge bonnes. J’ai pris plusieurs photos, mais je ne vous en présente que quatre au final. Les autres, sans être nécessairement mauvaises, ne valent définitivement pas la peine qu’on en parle longuement.

Donc, commençons par la première image, celle de l’écureuil. Je peux vous garantir qu’il y avait plusieurs écureuils dans le refuge et qu’ils sont définitivement habitué aux gens présents, donc pas très peureux. J’en ai pris quelques uns, mais je trouvais que cette image se démarquait, avec la branche qui encercle l’écureuil, qui me regarde directement.

Dans le cas de la couleuvre, elle était sur le bord du sentier comme nous arrivions. Evidemment, elle s’est éloignée en nous voyant, mais pas très loin. Le premier réflexe aurait pu être d’essayer de la capturer dans son entièreté, mais avec sa tête surélevée et toutes les choses qui l’entoure, elle se démarque définitivement plus avec juste sa tête. En post traitement, je me suis arrangé pour améliorer la texture les les couleurs de l’animal, tout en laissant tous les alentours plus neutres, se qui permet au serpent de se démarquer.

En troisième, la petite mésange. Ce sont des oiseaux que l’on retrouve partout dans le sud du Québec. Dans les endroits publics comme les parcs, elles viennent souvent particulièrement proches des gens, jusqu’à manger dans nos mains. Personnellement, je les préfère dans leur environnement naturel. Donc, pour cette mésange qui volait autour de nous et qui s’arrêtait régulièrement sur une petite branche. J’ai dû attendre quelques instants, car ce sont des oiseaux qui ne restent pas longtemps à la même place. Mais un peu de patience et le résultat devient intéressant. Une mésange, tout prêt de moi, qui est dans son milieu naturel.

Finalement, les tortues. Nous en avons vu des douzaines durant la journée. Ce qui fait que celles-là se démarquent, c’est qu’elles sont trois, toutes sur la. même branche, toutes dans la même direction. Pour être honnête, sur la branche il devait y en avoir une dizaine. Mais toutes placées pêle-mêle. Je les trouvais plus belles comme ça, les trois en ligne, comme si elles s’avançaient en file indienne sur la branche.

Les quatre images suivent. Vous pouvez cliquez dessus pour les agrandir.

Sur ce, je vous dis au revoir et j’espère que vous lirez mes prochaines publications.

Merci pour votre temps!

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